Présentation

L’histoire 1870

28 octobre 1870

29 octobre 1870

30 octobre 1870

JO de novembre 1870

21 décembre 1870

J.O. du 23-12-1870

Tableaux 1870

La gazette

Vie, communication

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Chemins ferrés

Histoire de l’aviation

L’aéroport

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A travers le temps

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Glossaire & Renvois

Galerie photos

Que sera demain

Images, anecdotes

Divers souvenirs

Le camion de la Croix rouge pendant l’hiver 53-54 a glissé sur le verglas  Route nationale 2, pour heurter  la  Boucherie CASTAGNET à côté se trouvait le lunettier LECLERC.

Histoire vécue d’un Chef meunier

Nous sommes arrivés au Bourget au Bourget en 1923.J ’ai commencé à travailler au moulin du Bourget en 1937.

Le moulin a cessé ses activités en 1970.

 

Ont se doutait que les allemands allaient partir, donc nous avons livré les boulangers en farine bien que leur stock ne soit pas épuisé, car ont se doutait de quelque chose comme une destruction.

Le 24-06-1944, les allemands ont fait sauter le pont de la grande ceinture avant de partir du Bourget. Mais ils sont revenus le lendemain. Sur leur chemin ils lançaient des grenades.

La gardienne du moulin, pour se protéger d’éventuels sévices est allée se protéger à la cave, comme une grenade à été lancée par le soupirail, elle a été blessée par des éclats…  la pauvre.

 

J’ai pris une photographie de la cour intérieure du moulin, il se trouvait juste à proximité du pont de la ligne du chemin de fer.

On peut voir les dégradations importantes causées par le souffle de l’explosion. Les vitres, le toit ont été soufflés, derrière le mur se tenaient les turbines et meules. Le transformateur a été également détruit, nous n’avions plus d’électricité. Aussitôt le lendemain nous nous sommes mis au travail pour effectuer les réparations. Le toit du moulin a été réparé à l’aide de tôle car il ne fallait pas d’eau pour la farine sinon nous nous serions retrouvés dans le pétrin.

J’ai vu arriver deux peut être trois chars LECLERC par la route de Drancy, le Romilly et je ne souviens plus du nom des autres. Ils se sont stationnés au carrefour de l’Aviatic. Il y avaient des centaines de personnes pour voir ces chars tant attendus. Les bourgentins avaient mis des drapeaux sur les balustrades des fenêtres, les autres les agitaient depuis la route.

Dès que les Allemands avaient quitté le village du Bourget pour se réfugier à l’aéroport où ils se terraient. Les FFI ont rappliqué au moulin, afin de se rendre compte s’il y avait des prisonniers.

Les forces de LECLERC avaient installé une batterie aux meules NORTON, elle se trouvait cachée par le pont de chemin de fer de la ligne PARIS-SOISSONS. Cette batterie tirait sur l’aéroport, je ne vous dit pas le bruit des tirs en résonance avec les tôles du toit du moulin. Les tirs passant par-dessus le moulin. Le plus rigolo si l’ont peut dire, se sont les gens qui faisaient la queue pour ramasser les douilles des obus tirés par cette batterie.

De la tour du moulin ont pouvait voir à 20 kilomètres aux alentours. Il n’a jamais été bombardé car il servait de point de repère, d’après des ont dit, c’était un point géodésique, qui servait de repère pour l’aviation, tout comme la tour de l’Illustration à Bobigny.

J’ai connu les trottoirs de la route de Flandes avec deux rangées de platanes, la route était ordinaire comme dans le temps. J’empruntais les tramway pour me déplacer.

Vers 1970 comme il y a eu une surproduction, le moulin du Bourget a du fermer.

Le moulin du Bourget se situait rue de Flandes angle rue du Chavalier de la Barre . Il a été démoli par nécessité, sur son ancien emplacement se trouve des résidences   .

                                       récit de Monsieur JC …………...

Les poules du moulin

Lorsque je suis arrivée au Bourget, il me semble qu’il y avait un tout petit cinéma à l’emplacement de celui au nom de l’aviatic. Il y en avait un autre, il se trouvait sur l’avenue à la hauteur du (toilettage pour chien) de la route de flandes. Je me souviens que j’y allais avec ma grand-mère quand elle venait nous voir le dimanche,  on disaient que nous allions nous promener, mais en fait nous allions au cinéma, c’était du lux pour l’époque. Les films étaient à épisodes a larmoyer sans arrêt, pendant une heure et demie ça pleurait... ça pleurait. Il a été détruit par un incendie.

Il faut que je vous dise en ce temps là nous devions nous débrouiller pour l’alimentation. Derrière l’annexe du moulin, nous avions « récupéré » un petit terrain au delà la nationale et nous le cultivions pour les légumes. Pour les œufs et aussi la viande (blanche), j’élevais des poules dans la cour du moulin, elles se nourrissaient des grains perdus, c’était économique et comme cela il n’y avais pas de perte. Lorsque mon mari a ressorti cette petite photo, représentant le moulin qui avait  subi le souffle de l’explosion de la destruction du pont de chemin de fer par les allemands, je me suis exclamer «  Ha ! mes poules….. ».

J’en ai gardé un bon souvenir de mes poules du moulin, surtout la blanche au premier plan sur la photographie, je la reconnais, c’est elle qui lorsque je portais ma robe blanche à pois rouge, venait vers moi pour essayer de picorer les pois de couleur.

                                       récit de Madame G. ….

                                      

50 ans d'anecdotes ferroviaires

AU BOUT DU QUAI

L'AVENTURE

Pierre Ramette

                                                                                                                                                                         Le père de l’auteur    

Voyeur sans le vouloir

Un ami mécanicien de route au dépôt de Bobigny, Marcel Bénil en retraite depuis longtemps m'a conté cette anecdote drôle et quelque peu olé olé.

Un dimanche matin de printemps dans les années 50 aux comman­des d'une 151TA remorquant un train de marchandises sur la grande ceinture du côté de Sucy-Bonneuil la voie étant en remblai surplombait les jardins des pavillons, ne roulant pas très vite il avait le loisir de regarder dans les jardins, lorsque dans l'un de ces jardins un couple s'affairait sur un parterre de légumes, l'homme qui était face à la ligne et placé juste derrière sa femme qui elle tournant le dos au train était penchée en train de biner sans doute quand son mari farceur et hur­luberlu souleva la jupe de sa femme montrant son intimité à l'équipe de conduite de la loco qui parti d'un grand éclat de rire et donnant un coup de sifflet au moment où la femme se retournant envoya une gifle magistrale à son bonhomme. En me contant cette histoire Marcel en rit encore.

 

Souvenirs de la période de Guerre 1940-1945

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La 030 TU et la veste jaune en ratine

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Train de marée                                                                                                                           L’auteur

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Le train et le cinéma

Épilogue

Ces quelques souvenirs j’y repense parfois avec une certaine nostalgie et peut être le regret de ne pas avoir été conducteur de locomotive. Mais ce travail de reporter m'a apporté bien des joies en visitant les coulisses du Chemin de Fer inconnues du public.

Tous ces bonheurs et émotions m'ont fait découvrir le travail des cheminots des différents services, et constater à tous les niveaux le grand respect de la sécurité avant tout.

 

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